• Voici une des affiches officielles de New Moon !!!

     

    Je là trouve vraiment très jolie, je suis juste un peu déçu que Jacob soit autant caché car si je ne me trompe, c' est lui qui à le rôle principal dans New Moon, mis à part biensûr Bella.

    Et vous ? Vous en pensez quoi ?


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    Enfin la date du Trailer de New Moon au cinéma !!!

     

    Décidément le deuxième volet de la saga de Twilight prend peu à peu forme.

    Vous savez déjà que les scènes avec les Volturis sont en train d’être tournées en ce moment-même a Vancouver et que les scènes ayant lieu en Italie à Montepulciano vont prochainement être tournées. Maintenant voici les dates des premières projections du premier trailer au cinéma de "The Twilight Saga New Moon".

                                                         

    Comment peut on le savoir ?

    C’est une radio texane qui a divulgué l’information : le trailer, version longue sera diffusé dans les salles de spectacle américaines lors d’un film nommé Bandslam le 14 août 2009.

    En effet les fans flairant le scoop s’étaient donnés rendez-vous autour de la station de radio pour glaner les dernières infos sur le partenariat qui lie la radio au film. Celle-ci a donc craqué et nous a dit son secret. Ce n’est pas nous qui allons nous en plaindre.


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  • Actuellement sur le tournage de New Moon, la scénariste du film a donné ses premières impressions sur Facebook.

                     

    L’actualité de Twilight Saga New Moon est en effervescence. Après l’entrée en scène des Voituri et les photos du tournage avec de chanceuses fans, voilà que Mélissa Rosenberg, la scénariste de la saga, s’est confié sur Facebook qui a d’ailleurs été piraté récemment. Alors, quelles sont les révélations de Mélissa sur ce tournage hors norme.

    La scénariste de Twilight Saga New Moon assure d’abord que « tout le monde s’amuse » sur les plateaux de tournage.

    Melissa indique également qu’elle n’a « entendu aucun mot agressif » alors qu’il pourrait y avoir au moins « une personne hargneuse après autant de travail ». C’est vrai qu’il parait invraisemblable qu’aucune embrouille n’ait lieu alors que la pression doit être à son maximum.

    Melissa Rosenberg continue à parler du tournage, comme Kellan Lutz qui parle de l’Italie, et plus particulièrement des acteurs. Avec des « voituri impressionnants », un « Michael Sheen qui incarne Aro à la perfection » et « Rob et Kristen qui sont splendides » le prochain opus de Twilight sent 2h00 environ de magie !!!


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  • Las Vegas

    De ce que j'ai pu en comprendre, dans le manuscrit original de Twilight, Bella, Edward et Alice restèrent un moment à Phoenix pendant qu'elle se remettait de ses blessures, puis ils passèrent par Las Vegas sur le chemin du retour. Cette scène se passe dans un casino de Las Vegas. Bella a encore son plâtre.


      Le matin suivant, nous allâmes au casino. La lumière du jour ne pouvait filtrer à l'étage des jeux, ce fut donc très facile. Edward me dit qu’il était souvent attendu d’eux qu’ils aillent perdre un peu d’argent dans l’hôtel – les suites comme la nôtre étaient réservées à cette classe spéciale de visiteurs connu comme étant de gros joueurs.
    

    Tandis qu’ils marchaient – et que je faisais avancer ma chaise roulante – à travers les hectares du casino élégamment décoré, Alice s’arrêta trois fois devant une machine à sous particulière et glissa une carte dans le scanner. Chaque fois qu’elle faisait cela, une sirène se mettait à hurler, les lumières flashaient, et une simulation sonore de pièces tombant indiquait que ses gains avaient été crédités à sa chambre. Elle essaya de me pousser à le faire une fois, mais je secouais la tête, sceptique.


         - Je pensais que tu étais supposée perdre de l’argent, l’accusai-je.

         - Oh, je vais le faire, m’assura-t-elle. Mais pas avant de les avoir fait transpirer un peu.


         Son sourire était unique.
         Nous atteignîmes une section de l'énorme casino plus luxueusement décorée, où il n’y avait ni machine à sous, ni touristes habillés de façon décontractée, avec des gobelets en plastique pleins de pièces.


     
     Des chaises recouvertes de tissu remplaçaient les tabourets de bar orientables, et les voix étaient basses, sérieuses. Mais nous continuâmes encore plus loin, passant plusieurs portes ornées d’or, vers une autre pièce, sûrement privée, encore plus somptueuse. Finalement je compris pourquoi Alice avait insisté sur le châle vert émeraude de soie entourant la robe qu’elle m’avait passée aujourd’hui, pourquoi elle-même portait un long sarong en satin blanc – avec un petit haut en dentelle qui ceinturait son estomac blanc et plat – et pourquoi Edward était si incroyablement irrésistible dans un autre costume en soie claire. Les joueurs dans cette salle étaient tous habillés avec une splendeur huppée dont le coût devait dépasser mon imagination.

    Quelques-uns des impeccables hommes les plus vieux avaient même des jeunes femmes aux robes sans bretelles étincelantes qui se tenaient derrière leurs chaises, comme dans les films. J’eus pitié de ces magnifiques femmes lorsque leurs yeux se posèrent sur Alice et Edward, réalisant leur propre insuffisance à la vue de la première, et mesurant l'insignifiance de leurs partenaires en lorgnant le second. J’étais une énigme, et leurs yeux glissèrent sur moi avec insatisfaction.


         Alice s’échappa vers les longues tables de roulette, et je grimaçai en pensant aux dégâts qu’elle allait provoquer.


         - Tu sais jouer au Black Jack, bien sûr, me murmura Edward à l’oreille en se penchant.
         - Tu plaisantes ?


         Je pouvais sentir mon visage pâlir.



         - Connaissant ta chance, je ne pourrais pas perdre de meilleur façon qu’en te laissant jouer, gloussa-t-il.


         Il me fit rouler jusqu’à une table où trois chaises étaient encore libres. Les deux hommes asiatiques exceptionnellement dignes, et habillés de façon immaculée me jetèrent un coup d’œil incrédule tandis qu’Edward me soulevait doucement pour me reposer sur un des sièges libres, et prenait le siège à côté du mien. La beauté orientale délicate qui se tenait en bout de table regarda avec une incrédulité empreinte d’insulte Edward me caresser les cheveux d’une façon possessive.


         - N’utilise qu’une main, souffla-t-il presque en silence dans mon oreille. Et garde tes cartes au-dessus de la table.


         Edward dit quelques mots discrets au donneur, et deux impressionnantes piles de jetons bleu foncé apparurent sur la table devant nous. Ils n’avaient pas de chiffres – et je ne voulais pas savoir, de toute façon. Edward poussa une petite pile devant lui, et une plus grande devant moi. Je lui lançai un regard furieux, prise d'une panique embarrassante, mais il sourit simplement d’un air espiègle, pendant que le donneur distribuait rapidement les cartes.

     Je pris précautionneusement les miennes d’une seule main, les tenant au-dessus de la table, rigides. J’avais deux neuf. Edward tenait ses cartes avec souplesse ; je pouvais voir qu’il avait un cinq et un sept. Je jetai un regard circonspect aux deux gentlemen à côté de moi, absorbée mais terrifiée, regardant avec soin le protocole concernant cette table de Black Jack réservée aux gros joueurs. À mon grand soulagement, cela semblait assez facile.

    Le premier tapa légèrement le haut de ses cartes du bout des doigts et reçut une carte, le second glissa le bout de ses cartes sous sa mise, les laissant sur la table, et ne regarda pas. Je reposai rapidement mes cartes, les fourrant maladroitement sous mes jetons – les joues en feu – quand le donneur me regarda. Je notai tardivement que le donneur avait une reine. Edward effleura légèrement la table**, et le donneur jeta un neuf sur la table devant lui. Je lui jetai un regard furieux tandis que les hommes à côté de moi murmuraient d’un air appréciateur.



         Le donneur avait un valet, et je perdis, tout comme les deux gentlemen asiatiques. Il nous retira doucement nos jetons. J’entendis un brouhaha tamisé en provenance de la table de roulette, mais j’avais trop peur de regarder. Edward poussa une autre pile de mes jetons sur la table, et tout recommença.
         Quant je n’eus plus aucun jeton, Edward me donna la moitié des siens, incapable de contenir son sourire amusé. Il s’en sortait bien, gagnant trois fois plus souvent que les autres hommes à la table. Mais vu qu’il s’occupait du montant de mes mises, je perdais mes jetons plus vite qu’il n’empochait les siens. Je n’avais encore gagné aucune manche.

    C’était humiliant – mais au moins j’étais sûre de ne jamais devenir accro au jeu.
         Enfin, je perdis notre dernière pile de jetons. Les gentlemen asiatiques et leur escorte féminine regardèrent Edward avec une curiosité impressionnée tandis qu’il ne pouvait plus contenir son hilarité, gloussant silencieusement, mais avec un profond amusement, tandis qu’il me remettait dans ma chaise roulante. Je piquai un fard et gardai mes yeux sur l’épais tapis alors qu’il me poussait, toujours en riant.


         - Je suis la pire joueuse de l’histoire, murmurai-je pour m’excuser.
         - En fait, tu ne l’es pas. C’était tellement drôle.


         Il rit de nouveau.


         - Tu n’as rien fait de mal, si ce n’est jouer de façon un peu conventionnelle. Les chances pour que tu perdes toutes les manches...


         Il secoua la tête, tout sourire.
         Nous arrivâmes à la table de roulette, juste à temps pour regarder Alice perdre sa spectaculaire pile de jetons, dans un tour de roulette désastreux. Les nombreux joueurs pleins d’espoir qui avaient parié avec elle sur le dix-sept noir avaient l'air assassin.


         - Avons-nous assez perdu ? murmurai-je pendant que nous passions les portes dorées.
     
     - Je pense que la maison est satisfaite. Tu es probablement leur cliente préférée aujourd’hui, ricana-t-il.
        
    - S’il te plaît, promets-moi une chose.
         - Tout ce que tu veux.
     
       - Ne me dis jamais, au grand jamais combien nous avons perdu aujourd'hui, s’il te plaît.


         Nous étions de retour dans le casino bruyant à ce moment-là, et son rire fut irrépressible.

     


                                                                                    Fin de tous les bonus !


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  • EMMETT ET L'OURS

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    Note de Stephenie Meyer : "Ce bout a été supprimé de l'épilogue original (de Twilight NdT). Même si j'explique brièvement l'histoire d'Emmett dans le chapitre 14 "La raison et la chair", cela me manquait vraiment de ne pas avoir les détails de sa propre bouche."


         
    J’étais surprise de voir qu’une étrange affinité s’instaurait entre Emmett et moi, surtout parce que, de tous, il avait été celui qui m’effrayait le plus pendant longtemps. Cela concernait la manière dont nous avions été choisis pour rejoindre la famille ; nous avions tous les deux été aimés – et aimé en retour – alors que nous étions humains, même si cela avait été très court pour lui. Seul Emmett se souvenait – lui seul pouvait comprendre le miracle qu’Edward constituait pour moi.

          Nous parlions de cela pour la première fois un soir, alors que nous étions tous les trois allongés sur les canapés du salon,
    Emmett me régalant doucement de ses souvenirs, encore mieux que des contes de fées, tandis qu'Edward se concentrait sur la chaîne Cuisine – il avait décidé qu’il devait apprendre à cuisiner, à ma grande surprise, et cela lui était difficile sans les sens indispensables de l’odorat et du goût. Enfin, il y avait quelque chose qui ne lui venait pas naturellement. Ses sourcils parfaits se froncèrent devant le célèbre chef améliorant sa recette en la goûtant. Je réprimai un sourire.
       
    - Il finissait de jouer avec moi, et j'ai su que j’allais mourir, se souvint doucement Emmett, concluant le conte de ses années d’humain avec l’histoire de l’ours.
         Edward ne nous prêtait aucune attention ; il avait déjà entendu cette histoire.
         - Je ne pouvais pas bouger, et j’étais en train de perdre conscience, quand j’ai entendu ce que je croyais être un autre ours, et ce que j’imaginais être une lutte pour savoir qui emporterait ma carcasse. Soudain, j'ai senti que je volais. Je pensais être mort, mais j’essayais tout de même d’ouvrir les yeux. Alors je l'ai vue –
         Son visage était incrédule à ce souvenir ; je m’identifiais totalement,
         - Et j'ai su que j’étais mort, enchaîna-t-il. Je me fichais complètement de la douleur – je luttais pour garder mes paupières ouvertes, je ne voulais pas manquer une seule seconde de ce visage d’ange. Bien sûr, je délirais, je me demandais pourquoi nous n’étions pas encore au paradis, pensant que cela devait se trouver plus loin que je ne le pensais. Je m’attendais à ce qu’elle décolle. Puis elle m’a amené à Dieu.
         Il rit de son rire puissant. Je pouvais tout à fait comprendre que n'importe qui fasse cette supposition.
         - Je pensais que ce qui m'est arrivé ensuite était mon jugement. J’avais eu trop de plaisirs dans mes vingt années humaines, donc je n'ai pas été surpris par les feux de l’enfer.
         Il rit de nouveau, je frissonnai. Le bras d’Edward me resserra inconsciemment.
         - Ce qui m'a surpris est que l’ange n'est pas parti. Je ne comprenais pas comment une chose aussi jolie pouvait rester en enfer avec moi – mais je lui en étais reconnaissant. A chaque fois que Dieu venait voir mon état, je craignais qu’il ne l’emporte loin de moi, mais il ne l'a jamais fait. J'ai commencé à penser que ces prêtres qui parlent d’un Dieu miséricordieux avaient peut-être raison, après tout. Puis la douleur a disparu... et ils m’ont expliqué.
         - Ils ont été surpris de voir à quel point le fait d'être un vampire me perturbait peu. Mais si Carlisle et Rosalie, mon ange, étaient des vampires, était-ce si mal ?
         J'acquiesçai, totalement d’accord, tandis qu’il continuait.
         - J'ai eu plus de problèmes avec les règles... gloussa-t-il. Tu n’en pouvais plus de moi au début, n’est ce pas ?
         Le coup de coude joueur qu’Emmett mit dans l’épaule d’Edward nous fit valser tous les deux.

        Edward grogna sans détacher ses yeux de la télé.

        
    - Donc, tu vois, l’Enfer n’est pas si mal si tu as un ange près de toi, m’assura-t-il avec malice. S'il change un jour d’avis pour accepter l’inévitable, tu t’en sortiras bien.
         Le poing d’Edward bougea si vivement que je ne vis pas ce qui cogna Emmett, l’étalant sur le canapé. Les yeux d’Edward n'avaient pas quitté l’écran.
         - Edward ! le grondai-je, horrifiée.
         - Ne t’inquiète pas, Bella.
         Emmett était de nouveau à sa place, imperturbable.
         - Je sais où le trouver.
         Il regarda au-dessus de ma tête, vers Edward.
         - Tu devras la lâcher à un moment ou un autre, menaça-t-il.
         Edward grogna simplement en guise de réponse, sans lever les yeux.

        
    - Les garçons ! appela brusquement la voix réprobatrice d’Esmée du bas des escaliers.

    FIN


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